Actualités

Augmenter l’ingestion en début de lactation, un enjeu pour la rentabilité de l’atelier lait

Gros plan de pis en vache à la traite

En début de lactation, les besoins énergétiques de la vache s’élèvent brutalement, alors que l’appétit ne croit que lentement. L’animal se trouve en situation de déficit énergétique et puise dans ses réserves adipeuses pour le combler. La production laitière au pic et la fertilité en sont affectées. Par conséquence, la production laitière annuelle en pâtit également. Les lactations sont plus longues et les volumes produits sont moins importants. Or, il est avéré qu’un kilo de lait produit en plus au pic de lactation induit 200 kg de lait en plus sur la lactation.

Il faut gérer ce déficit énergétique pour le réduire au maximum dans sa durée, afin de ne pas affecter la rentabilité.

Augmenter l’ingéré

La vache a peu d’appétit en début de lactation. Or, 1 kg de MS ingéré en plus représente 0,9 UF supplémentaire pour l’animal. L’appétence des fourrages joue sur la qualité de l’ingestion. Or sur la période estivale, les fourrages sont souvent moins appétents et moins ingérés car échauffer à l’auge ou dégrader. Grâce à des formules appétentes, l’aliment liquide palie cette difficulté.

Concentrer la ration en début de lactation

L’aliment liquide est une solution économique qui concentre la ration en début de lactation. Ainsi, il permet d’apporter des sucres à la ration et de l’appétence à la ration pour stimuler l’ingestion. Il concentre la ration en énergie en apportant un aliment sans encombrement. Enfin, il stimule la dégradabilité des fourrages et augmente la quantité d’énergie extrait du fourrage et disponible pour l’animal.

L’aliment liquide est une réponse performante aux problématiques du début de lactation.

Partager sur les réseaux sociaux