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L’aliment liquide s’adapte aux exigences qualité des filières de production animale

Grâce aux matières premières sélectionnées et aux garanties en matière de contrôle et de traçabilité, l’aliment liquide est en adéquation avec les attentes des filières de production animale, et peut répondre aux exigences particulières de certains cahiers des charges des Signes officiels de la Qualité et de l’Origine et cahiers des charges indépendants .

Une source d’azote formulée avec des coproduits nobles

L’aliment liquide est un véritable atout pour les élevages de ruminants. Cet aliment complémentaire apporte des sucres fermentescibles et de l’azote nécessaire à l’équilibre de la ration.

Dans les aliments liquides formulés sans urée additionnel, l’azote soluble provient de coproduits nobles de l’industrie agroalimentaire tels que les solubles de mélasse condensés (vinasses). La protéine soluble des aliments liquides est directement assimilable au niveau du rumen et contribue, en association avec le sucre, au développement d’acides gras volatils.

Un atout nutritionnel pour les ruminants

L’utilisation d’aliment liquide augmente l’ingestion des fourrages, améliore la digestibilité de la ration et optimise la dégradation des fibres et de la cellulose des fourrages. Ainsi, l’aliment liquide augmente les concentrations énergétiques et protéiques de la ration et stimule la flore digestive.

L’aliment liquide permet donc d’optimiser le fonctionnement du rumen.

Participe au développement de   l’économie locale

L’aliment liquide s’intègre pleinement dans le développement de l’économie locale. Il participe à l’autonomie alimentaire des exploitations, et permet de valoriser des coproduits locaux.

Les fabricants optimisent les formules et proposent des aliments liquides utilisant des coproduits provenant de France, telle que la mélasse de betteraves pour la concentration en sucre, et les solubles de mélasse condensés ou de céréales pour la concentration en azote soluble.